Les jeunes ont la parole

Monsieur le Ministre,


Je vous écris pour vous faire part de mon indignation et de mon mécontentement. Alors qu’en Israël je suis infirmière, ici je ne suis pas reconnue comme telle. Bien que j’aie étudié quatre ans, je ne peux pas avoir l’équivalence en France. Il faut que je refasse au minimum un an d’études et que je repasse mon diplôme.

De la même manière, je dois repasser mon permis de conduire, alors que je conduis depuis dix ans. Bien que je comprenne la nécessité d’un contrôle, je trouve dommage que le système ne soit pas plus flexible.

Monsieur le Ministre, je veux vous dire qu’être étranger est assez difficile. Je souhaite que le système puisse faciliter notre intégration.

Je vous remercie de votre attention et vous prie de croire, Mr. Le ministre, en l’expression de mes sentiment les meilleurs.



Olga KEVICH, étudiante au DEFI (Département enseignement du français à l'international), Lille3